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Lettre envoyée le 17/01/2022
Lundi 17 janvier 2022 La Lettre N°569
Les absents ont parfois raison
A force de nous gonfler avec le Covid et ses variants, à forcer d'instiller la peur chez les plus faibles d'entre nous, les citoyens que nous sommes risquent fort, par instinct de sauvegarde, de déserter la société et de briller par l’absentéisme. Si le proverbe affirme que les absents ont toujours tort, c'est que faute d'être présent, on ne peut se défendre et que l'on devient fautif. Or, comment combattre une propagande mondiale en faveur d'un vaccin qui n'en est pas (encore) un (car toujours en phase de test jusqu'en 2023) compte tenu des piètres résultats observés jusqu'à maintenant et des doses de rappel imposées à des organismes déjà fatigués ? Cela fait deux ans qu'on nous casse les pieds avec une crise sanitaire qui arrange bien les instigateurs du Nouvel Ordre Mondial consistant à nous transformer en moutons pucés, pour mieux nous tondre et nous faire marcher droit. Ne trouvez-vous pas bizarre que l'OMS n'ait pas réussi à maitriser un virus parmi tant d'autres ? Ce virus-là n'est pas le premier que nous rencontrons sur terre, mais c'est la première fois qu'on en fait un instrument de manipulation, pour, au passage, parvenir, non pas à soigner (puisqu'il n'en a jamais été question) mais à vacciner en pleine pandémie, et multiplier par X les profits des laboratoires pharmaceutiques. Etrange, n'est-ce pas ? Et nos politiques qui, depuis déjà plusieurs années, nous annoncent un changement de société (l'affaire était donc préméditée) contre lequel nul ne pourra s'opposer. Ben voyons ! D'un côté, il y aurait donc les élites qui décident de tout et de l'autre, les gueux qui n'ont qu'à bien se tenir. J'ai bien peur que nos têtes pensantes n'aient pas bien saisi la règle du jeu qui s'impose en démocratie. En attendant, les gouvernements se posent des questions : le Royaume-Uni appelle à un changement de stratégie, l'Allemagne suspend la vaccination obligatoire,, le directeur national de la Santé du Québec rend son tablier, l'Espagne considère le coronavirus comme « une grippe », la Guadeloupe intensifie son mouvement de résistance contre la politique sanitaire de Paris, le discours médiatique commence à changer de ton sur les médias en France métropolitaine... Et puisqu'on décide de tout, sur tout, et pour tous, sans aucun débat avec la représentation nationale, il ne sert à rien de continuer à alimenter (et à vivre dans) un système détourné au seul profit des puissances économiques et financières.
Que faire alors ?
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE ! On nous dissuade de nous embrasser (baiser, baisoter, biser ou enlacer, si vous préférez!) depuis le fichu Covid. Heureusement, il y a bise et « bise ». Celle nous réconcilie avec la plus froide , même si c'est la plus chaude qui nous manque le plus ! Certes, il y a des pays où l'on n'embrasse pas. Le Japon en fait partie et cela surprend lorsqu'on découvre le pays pour la première fois mais c'est ainsi. Ce que l'on ignore parfois, c'est que les rites en la matière ont évolué à travers les âges et varient selon les continents. A la Renaissance, les Européens avaient pour coutume de se saluer en s'embrassant sur la bouche (sans jeux de langue et les lèvres closes), en héritage du « baiser de paix » institué par les premiers Chrétiens en signe de communion des âmes, mais également d'un baiser médiéval très politique, celui que le vassal donnait à son suzerain, ou que deux seigneurs échangeaient pour entériner leur réconciliation. Ce baiser (bécot, bisou, ou poutou!) sur la bouche sera d'abord réprouvé par les partisans de la Réforme, qui le remplacera par la poignée de main. Et l'Europe catholique de rejeter à son tour le baiser au 18ème siècle avant d'adopter le baiser sur les joues à la fin du siècle suivant. A la même époque, les anthropologues seront surpris par les formes de salutation qu'ils observeront lors de leurs voyages. Comme en Extrême-Orient où le baiser est jugé répugnant (au point d'évoquer pour certains le cannibalisme) et où l'on se salue sans contact. Le baiser « olfactif » consistant à appliquer son nez contre la joue d'un proche avant d'inhaler fortement, est au même moment observé chez les Inuits, les Mongols et certains peuples indiens. Les Tibétains, eux, se saluent en se tirant la langue. Finalement, seul le baiser voluptueux des amants semble universel. Attesté dès l'époque sumérienne, exalté par l'art érotique de la Chine ancienne et le Kâma-Sûtra, il ne prit une dimension romantique, déconnecté de l'acte sexuel, que dans la première moitié du 20ème siècle. Avec le cinéma hollywoodien, un nouveau baiser s'imposera à tous et sera alors copié par les garçons des campagnes françaises qui avaient coutume, selon les régions, de déclarer leur flamme aux filles en leur pinçant le bras, en leur tapant sur l'épaule ou encore...en leur lançant des pierres. A chacun sa culture ! Smack !!!! UN PEU PLUS D'HUMOUR Le covidisme, par Karim Duval : https://youtu.be/_48gKagPaB0 SEQUENCE NOSTALGIE Mini-série française de six épisodes, « Les 400 coups de Virginie » a été diffusée pour la première fois le 22 décembre 1979 sur TF1. Le film raconte l'histoire de jeunes mariés venus de Perpignan, Virginie et son mari, un psychanalyste fraichement diplômé, qui emménagent dans le grand appartement parisien de la tante Estelle. Entre la cohabitation avec la fameuse tante, le changement de décoration de l'appartement, l'apprentissage de la conduite, la réception de la clientèle de son époux et le lèche-vitrine...Virginie est très occupée. La distribution permet de reconnaître Françoise Morhange (tante Estelle), Anicée Alvina (Virginie), Yves-Marie Maurin (Paul Lecharme), Michel Blanc (l'antiquaire), Anémone, Josiane Balasko, Raymond Bussières, Paulette Dubost, Georges Beller.... Générique : https://youtu.be/p2pSgrbGb0k . Episode : https://youtu.be/mqS9wU5HSTo?list=PLVAgFdNyzOEOA-bVmR6PL1_4IWQH7v7ft VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
ACTIVONS NOS NEURONES Avec les prix, on n'est pas toujours gagnant. Tenez, le fait d'avoir troqué le nouveau franc contre l'euro, le 1er janvier 2002 (oui, cela fait déjà vingt ans!) ne nous a pas toujours fait gagner en pouvoir d'achat. Prenons par exemple le prix du fioul domestique : Les mille litres qui valaient 346,99€ en 2001 valaient 1054,97 € vingt ans plus tard, soit une hausse de 204%. Vous souvenez-vous du prix du timbre (rouge), pour une lettre de moins de 20 grammes ? Il (ne) coutait (que) 0,46 € en 2001 contre 1,28€ en 2021 (soit 178% de hausse). Et la contravention, on en parle ? Un PV de stationnement à 11,43 € en 2021 valait 35 € en 2021 (+206 %). Quid du pouvoir d'achat ? Là où le prix à la consommation a grimpé de 21 à 206% sur vingt ans, l'augmentation des revenus et des aides, elles, a évolué seulement de 24 à 60%, donc bien moins vite. C'est l'allocation de rentrée scolaire (11 à 14 ans) qui a le plus grimpé (+60%) juste devant celle des élèves âgés de 6 à 10 ans (+52%). Le RSA est quant à lui passé de 835,09 € à 1156,96 € pour un couple avec deux enfants entre 2001 et 2021. Soit 39% de hausse (contre 42% pour le RSA d'un célibataire). Bref, les gens modestes sont destinés à le rester dans l'esprit des eurocrates. Alors, un conseil : Ne vous faites pas d'illusion sur le revenu universel à 800 € qu'envisagent les adeptes du Nouvel Ordre Mondial. Et dites-vous bien que s'ils vous proposent cela, c'et que d'autres (les patrons, dirigeants et autres acteurs économiques...) trouvent un intérêt à ce genre de proposition et arrêtez de croire que c'est parce qu'ils vous aiment ! (merci à Muriel pour cette information) DU COTE DE CHEZ NOUS Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : https://youtu.be/ygYGrk61d3Y et https://youtu.be/E993x28BYCI
Spectacle « Les Oiseaux de Braunfels » du 19 janvier au 22 février 2022, à Strasbourg (67) Fatigués par la morosité du quotidien et la médiocrité de leurs semblables, Fidèlami et Bonespoir partent en quête du royaume des oiseaux où ils espèrent vivre d’art et d’amour. Ils rencontrent le roi Huppe qui règne avec nonchalance sur le monde bigarré des volatiles. Apprenant que le ciel n’appartient pas aux oiseaux, Fidèlami les exhorte à prendre le pouvoir. Leur faisant miroiter un nouvel âge d’or, il les convainc de bâtir une cité-forteresse dans les nuages, afin d’intercepter les fumées des sacrifices grâce auxquels les hommes nourrissent les dieux. Contraints par la famine, ceux-ci devront s’incliner devant les oiseaux ! Mais gare aux promesses de lendemains qui chantent : le réveil pourrait être brutal. Musique foisonnante et lyrique, livret charmeur et poétique... Sous ses airs de fable animalière, Les Oiseaux est une adaptation post-romantique d’une comédie antique d’Aristophane. Composé par Walter Braunfels durant la Première Guerre mondiale et créé à Munich en 1920, ce somptueux opéra raconte avec tendresse et mélancolie les aspirations humaines puis l’échec des utopies. Il était grand temps que ce chef-d’oeuvre du 20ème siècle soit présenté en France. A l'Opéra national du Rhin, 19, place Broglie, à Strasbourg (8ème) https://www.operanationaldurhin.eu/fr/spectacles/saison-2021-2022/opera/the-birds « Les surfeurs de l'économie », à partir du 22 janvier 2022 à Paris (75) Parce que comprendre l’histoire de la pensée économique c’est un peu comprendre le monde qui nous entoure, Angie et Nono, deux jeunes professeurs exaltés ont fait le pari de surfer sur l’histoire de l’économie. Ou plutôt, surfer sur l’histoire de « la pensée économique ». Les surfeurs de l’économie vous emmènent en voyage d’Aristote et Platon jusqu’à John Maynard Keynes en prenant la Grande Vague de l’Histoire. Cette pièce sera présentée dans l'auditorium de Citéco les Samedi 22 et dimanche 23 janvier, Samedi 29 et dimanche 30 janvier, Samedi 5 et dimanche 6 février. Durée : 1h. Spectacle tout public à partir de 15 ans. Tarif plein : 10€ ; tarif réduit : 5€ à 8€ ; Pass Cité+ : 5€. https://www.citeco.fr/
Situées à l'autre bout du monde et à quatre heures de vol de Papeete, la capitale de la Polynésie française, les Iles Marquises forment le plus éloigné des cinq archipels polynésiens et peut être le plus remarquable en terme de décor naturel (verticalité impressionnante des falaises, de pics et de pitons exceptionnels, notamment sur l'île d'Ua Pou), de richesse de la faune sous-marine endémique constituée de poissons et de dauphins, de richesse culturelle avec une architecture monumentale cérémonielle (tikis, statues traditionnelles) et d'habitat (paepae, du nom des anciennes habitations locales). A suivre !
Ce « périple » a pour ambition aussi d’attirer une partie de la clientèle internationale en transit pour quelques heures ou qui débarquent tôt le matin, sans accès à leur hébergement. L’objectif de l’Office du Tourisme est d’augmenter l’attractivité en cumulant les centres d’intérêt et en montrant leur diversité puisque le tour fera la liaison entre : le Centre commercial Aéroville près de la zone aéroportuaire, le Complexe aquatique Plaine Oxygène au Mesnil-Amelot, le golf international de Roissy, sans oublier le Musée Archéa situé à Louvres et le Musée national de la Renaissance au Château d'Ecouen. Exposition « L'exécution du roi » du 21 janvier au 19 février 2022, à Paris (75) Le 21 janvier 1793, peu après 10 heures du matin, Louis XVI, roi de 1774 à 1792, est guillotiné place de la Révolution. Emprisonné dans la tour du Temple, le Roi est condamné à mort par la Convention érigée en tribunal extraordinaire. Son corps est inhumé au cimetière de la Madeleine, où se trouve actuellement la Chapelle expiatoire. L’exécution du Roi divise les partisans de la Révolution. En France, elle exacerbe les passions. À l’étranger, elle nourrit le sentiment antirévolutionnaire, à tel point que l’Angleterre et la Prusse entrent en guerre contre la jeune République menacée. Cette exposition, sous le commissariat de Jean-Clément Martin, retrace l’événement et analyse ses répercussions sur les contemporains et dans les siècles qui suivent. La Chapelle expiatoire en est le lieu de mémoire depuis 1826. Quinze œuvres exceptionnelles, issues de collections particulières viennent enrichir le parcours de visite. A la Chapelle expiatoire, 29 rue Pasquier à Paris (8ème). Plein tarif : 6€. Tél : 01 42 65 35 80. chapelle.expiatoireSPAMFILTER@monuments-nationaux.fr Exposition « Face à Face, visière d'un cavalier romain » du 22 janvier au 9 mai 2022, à Saint-Germain-en-Laye (78) Plus de cent ans après sa découverte en 1908, la visière de casque à visage romain de Conflans-en-Jarnisy (Meurthe-et-Moselle) a été acquise par l'État avec le soutien de la Fondation La Marck sous l'égide de la Fondation de Luxembourg pour le musée d'Archéologie nationale (MAN). L'étude scientifique conduite avec le Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF) a permis d'éclairer les choix de restauration. Le travail d'imagerie scientifique et d'analyses physico-chimiques constitue une occasion particulière de présenter au grand public, de manière concrète, les investigations menées en laboratoire. Objet militaire et objet d'apparat, il symbolisait le service au sein de la puissante armée de Rome. Lors de sa découverte, la visière était associée à d'autres objets : vases, couteau ou poignard, ferrures d'un coffret. Aujourd'hui disparus, ils formaient peut-être le mobilier d'une sépulture. Par comparaison deux ensembles provenant de tombes, l'un conservé par le MAN, l'autre par le musée du Louvre, permettent d'exposer des éléments de casque dans leurs contextes funéraires. Cette visière est exceptionnelle. Le visage imberbe du jeune homme est surmonté d'un bandeau de mèches bouclées et d'une couronne végétale, que les radiographies ont révélés. Les examens et analyses effectués en laboratoire autorisent une meilleure compréhension de l'histoire matérielle de la visière. Exposer le travail d'enquête mené par le C2RMF en collaboration avec la restauratrice et l'ensemble de l'équipe permet à la fois d'expliquer le passé et le présent de la visière. Salle d'exposition temporaire du Musée d'Archéologie nationale, Domaine national de Saint-Germain-en-Laye (78).
Les meilleurs endroits où passer l'hiver au chaud
D'autres destinations sont à découvrir dans le numéro de décembre 2021 de la revue Voyages & Hôtels de rêve. Bon voyage ! Exposition « Gaston Paris reporter » du 19 janvier au 18 avril 2022, à Paris (75) Qui se souvient de Gaston Paris (1905-1964) ? Il fut pourtant le photographe le plus publié de l'hebdomadaire VU, dans lequel sévissaient aussi Germaine Krull, André Kertész et Robert Capa. Grâce à l'historien Michel Frizot, l'injustice est réparée puisque notre homme a réuni une sélection éclectique des reportages de Gaston Paris. Au programme, la vie nocturne parisienne, les luttes sociales des années 1930... Autant d'images à la beauté moderniste qui ont séduit le magazine Détective, où l'artiste sera également publié. Entre les scènes de cabaret et les scènes de crime, c'est un retour sur l'un des grands artisans de la presse illustrée à son âge d'or, qui nous est offert. Au Centre Georges Pompidou, à Paris (4ème). Les Etats du sud des Etats-Unis
Le plus grand gratte-ciel en bois au monde est suédois La Suède est à la pointe de l'utilisation de ce précieux matériau qu'est le bois. Ce pays en fait déjà des meubles et autres objets du quotidien, mais aussi … des immeubles, et même un gratte-ciel bâti sous la houlette du cabinet d'architectes White Artitekter, un édifice fabriqué dans cette noble matière, esthétique et écologique. A Skelleftea, dans le nord du pays, ce bâtiment largement vitré d'une vingtaine d'étages se hisse vers le ciel sur plus de 80 mètres de haut et abrite un hôtel de 200 chambres ainsi qu'un centre culturel. Cet édifice est à la fois le symbole d'une conception flexible et d'équipements assurant l'autosuffisance énergétique du bâtiment (panneaux solaires). Journées internationales du film sur l'art, du 21 au 30 janvier 2022, à Paris (75) Ce rendez-vous annuel permet d'explorer le lien singulier qui unit le cinéma aux autres arts et questionner le processus créatif et le rôle de l’art dans nos sociétés. Un choix de films récents, pour la plupart inédits, y est proposé autour du statut et de la condition d’artiste. Deux focus sur les rapports entre cinéma et archéologie et sur le marché de l’art sous l’Occupation sont aussi prévus, au même titre que les projections, suivies de rencontres avec les réalisateurs. Cette 15éme édition reçoit Alain Fleischer, cinéaste, plasticien, écrivain et directeur du Fresnoy-Studio national des arts contemporains, et propose deux focus, un hommage, une installation ainsi qu’une sélection de films récents accompagnée d’échanges avec leurs réalisatrices et leurs réalisateurs et une programmation en ligne. Exposition virtuelle : « La Chine des porcelaines du 9ème au 18ème siècle » , depuis le 12 janvier 2022, au Musée Guimet (Paris) Pensée comme une expérience immersive à la croisée de la visite guidée et du voyage, l’exposition « La Chine des porcelaines du 9e au 18e siècle » est l’occasion de découvrir une partie de l’exceptionnelle richesse des collections du musée, et de parcourir près d’un millénaire d’évolutions techniques et stylistiques. Un écrin digital pour une sélection inédite d’une quarantaine de pièces de porcelaines emblématiques, issue des collections du musée, et présentée pour la première fois dans un univers 3D. Finesse, transparence, blancheur, forme, virtuosité technique, symboliques des motifs, réminiscences du passé, détails subtils inlassablement admirés… Le matériau est au cœur même de l’exposition. La porcelaine est ressentie dans tous les aspects de la visite, de la texture des supports, à la douce luminosité éclairant l’espace en passant par la translucidité des cartels. Oubliées les vitrines et les barrières, le visiteur jouit d’une proximité inédite avec les œuvres qu’il peut manipuler à 360 degrés et ainsi en admirer la réflexion de la lumière sur les surfaces, obtenue grâce à une photogrammétrie précise (technique de numérisation à partir d’une multitude de photos haute définition). La pluie, le vent, la neige, se matérialisent également sous les yeux du visiteur, grâce à l’usage de la 3D en temps réel, la luminosité change selon l’heure, le son est spatialisé et la météo parisienne s’invite à l’extérieur de la salle d’exposition. 1800 m2 reconstitués – 36 œuvres numérisées – 3 scènes originales 3D . https://www.guimet.fr/event/la-chine-des-porcelaines-du-9e-au-18e-siecle/ La Tour Jean sans Peur (Paris 2ème) nous invite actuellement à découvrir l'exposition « Gamins et Poupardes – Enfances parisiennes au 19ème siècle » jusqu'au 29 mai 2022. On découvre ainsi que la capitale compte 25 000 naissances (pour 700 000 habitants) en 1815. Grossie de l'annexion des communes périphériques et des migrations de l'exode rural, Paris abritera près de deux millions et demi d'âmes en 1891, dont un tiers a moins de vingt-cinq ans, un âge parfait pour se marier et fonder une famille. Yves
Exposition "Gamins et Poupardes-Enfances parisiennes au 19ème siècle" (La Tour Jean sans Peur, Paris, France)La Tour Jean sans Peur (Paris 2è) nous invite actuellement à découvrir l'exposition « Gamins et Poupardes – Enfances parisiennes au 19è siècle » jusqu'au 29 mai 2022. On découvre ainsi que la capitale compte 25 000 naissances (pour 700 000 habitants) en 1815. Grossie de l'annexion des communes périphériques et des migrations de l'exode rural, Paris abritera près de deux millions et demi d'âmes en 1891, dont un tiers a moins de vingt-cinq ans, un âge parfait pour se marier et fonder une famille (...)  Lire la suite Leglobeflyer |
