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Lettre envoyée le 23/08/2021


 

 

Lundi 23 août 2021                                                             La Lettre N°548

 

La 5G...à marche forcée !

 

Depuis novembre 2020, date officielle du lancement de la 5G en France, ce sont plus de 37 214 antennes terrestres qui ont été mises en service. Et, à cause d'Elon Musk, promoteur du projet « Starlink », 42.000 satellites de télécommunication, placés sur orbite terrestre basse de nous mettre sous cloche, nous, peuples du monde. Comme d'habitude, il s'agit là d'une histoire de fric avec des enjeux financiers effarants : l’attribution des fréquences 5G a déjà rapporté 2,789 milliards d’Euros à l’État français et les opérateurs mobiles mondiaux envisagent d’investir plus de 700 milliards de dollars dans la 5G d’ici à 2025. Si un tel déploiement de moyens peut faire peur, sommes-nous pour autant seuls et impuissants ?

Les sondages s'en donnent à cœur joie, en classant d'un côté les « pro » et de l'autre les « anti » 5G, mais aucun consensus favorable à cette technologie ne se dégage réellement. Et nul besoin d'associer la 5G aux causes de la pandémie de Covid-19 pour identifier les risques potentiels d'une telle technologie sur la santé des populations, à commencer par les menaces cancérogènes que font planer les champs magnétiques. D'où la nécessité d’exiger de connaître le rapport coût-bénéfice de la 5G pour l’homme et l’environnement, et d’invoquer le principe de précaution avant d’autoriser le déploiement tentaculaire de cette technologie. C’est précisément l’objet des actions collectives initiées sur g5raisons.fr (https://g5raisons.fr), qui, au-delà de la simple pétition, visent à obtenir en justice la suspension de la 5G, le temps de réaliser toutes les études requises.

 

Première chose : En quoi consiste la 5G ? La première génération de réseau mobile visait la suppression du fil du téléphone, la deuxième l’envoi de sms, la troisième l’accès à Internet en déplacement, la quatrième l’augmentation du
débit...la 5G, elle, veut augmenter encore plus la quantité et la vitesse des données circulant sur le réseau. Le débit devrait être multiplié par dix, pour un délai de transmission de l’ordre de la milliseconde. Autant dire que cette technologie ne vise pas autre chose que l’avènement de « l’Internet des objets ». Un nouveau monde peuplé d’un million d’objets connectés par kilomètre carré (pourvu que ces objets connectés soient immunisés contre tout virus, faute de quoi ce sera la pandémie numérique assurée!). Et chaque objet de disposer de sa propre identité numérique et d'être capable de communiquer en direct avec ses semblables. Ferrés à nos poignets, des bracelets de santé virtuelle, dans nos maisons une armée de robots ménagers en tout genre depuis l’aspirateur jusqu’au smart babyphone, et à l'extérieur, des voitures sans conducteur ou encore les outils de surveillance et d’éclairage public suiveur (Souriez, vous êtes filmés!). Or, ce maillage de ce réseau d’intelligences artificielles repose sur une augmentation de notre exposition aux champs électromagnétiques artificiels dits « non ionisants ».

 

« L’intelligence » des nouveaux objets connectés repose sur l’échange de données au moyen de ce qu’on a pris l’habitude d’appeler des « ondes électromagnétiques ». Pourtant, à proprement parler, une onde n’est que la représentation graphique, sous la forme de vagues à l’allure inoffensive, d’un phénomène physique tangible bien réel : le rayonnement électromagnétique ou la radiation non ionisante, qui correspond à un transfert d’énergie voire d’information sous la forme de faisceaux de particules. On classe donc les rayonnements électromagnétiques selon leur fréquence, c’est à dire en fonction du nombre d’oscillations couplées d’un champ électrique et d’un champ magnétique par unité de temps (mesuré en Hertz). La longueur d’onde définit la distance entre deux oscillations. Le classement de ces ondes est représenté par un spectre électromagnétique, spectre au sein duquel on distingue les rayonnements ou radiations ionisantes (ultraviolet, rayons X, rayons Gamma) capables d’arracher des électrons à la matière et de la rendre instable. La désintégration spontanée des atomes est ce qu’on appelle plus communément la radioactivité. Les graves conséquences de ce type de radiations sur le vivant ne sont plus à démontrer. Plus la fréquence d’un rayonnement est élevée, plus il transfère de l’énergie, et plus il est dangereux(lisez le graphique au bas de cet article). Les radiofréquences utilisées aujourd’hui par la téléphonie mobile appartiennent à la catégorie des ondes « non ionisantes ». Est-ce que non ionisant signifie inoffensif pour les êtres vivants? C’est ce que voudraient nous faire croire certaines présentations démagogiques du spectre électromagnétique élaborées par les promoteurs de la téléphonie mobile. Pourtant, il n’est pas nécessaire d’atteindre des fréquences Gamma pour impacter dangereusement le vivant. Même les ondes inscrites dans le spectre visible peuvent être nocives. il est ainsi avéré que les éclairages bleus de type led qui parsèment notamment nos écrans, sont nocifs pour la rétine et pour les cycles biologiques. Ce type de lumière perturbe notre sommeil, réduit l’acuité visuelle et augmente les risques de DMLA (dégénérescence maculaire, détérioration progressive de la macula partie de l’œil responsable de la vision centrale et de la vision fine). Or sa longueur d’onde s’inscrit entre 380nm et 500nm, ce qui la situe dans les fréquences du spectre non ionisant (source : expertise de l’ANSES de 2010). Les effets d'annonces actuels, eux, donnent le chiffre de 3,5GHz. Mais on sait déjà que la 5G n’atteindra ses performances optimales qu'avec la fréquence 24GHz. Preuve en est le modèle américain de l’Iphone 12 proposé par Apple, déjà équipé d’une « antenne mmWave », et capable d’échanger de l’information au moyen d’ondes non plus centimétriques mais millimétriques. Par rapport à la 4G, il s’agira donc à terme d’une multiplication par dix de la fréquence des rayonnements utilisés. Enfin, il faut savoir que plus on augmente en fréquence plus on perd en portée et la 5G nécessitera d’autant plus de relais physiques, c’est-à-dire l’installation de dizaines de milliers d’antennes MIMO, ce qui correspond à un triplement des pylônes. Mieux! Pour propager les ondes millimétriques situées autour de 24GHz, il faudra également installer un réseau encore plus dense d’antennes miniatures. Les promoteurs de la téléphonie mobile évoquent à terme une antenne tous les 100 mètres, cachées dans notre mobilier urbain (lampadaires, abribus, panneaux publicitaires...). Malgré cela, aucune étude digne de ce nom n'est disponible à ce jour sur l’augmentation de l'exposition quotidienne aux ondes électromagnétiques induite par cette 5G.

Quant aux grands bidules d'Etat que sont l'ANSES (Agence nationale de Sécurité Sanitaire) et l'ICNIRP (Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants), on ne sait qu'en penser dans la mesure où le premier déclarait en avril 2021 «5G : pas de risques nouveaux pour la santé au vu des données disponibles [...] le groupe de travail considère qu’il est peu vraisemblable, à ce stade, que le déploiement de la 5G dans la bande de fréquences autour de 3,5GHz constitue un nouveau risque pour la santé ». On comprend dès lors la mise en accusation par les associations Phonegate et Robins des Toits à l’égard de l’ANSES, et la dénonciation d’un positionnement trop favorable aux lobbies de la téléphonie mobile. L'ICNIRP, qui prétend être une organisation scientifique indépendante et à but non lucratif, s'aligne sur les conclusions de l'ANSES, méfiance donc dans la mesure où l’ICNIRP coopère étroitement avec l’industrie mobile par l’intermédiaire de l’IEE (Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens). Organisation de droit américain, l’IEE regroupe en effet de nombreux professionnels de l’industrie des médias et des télécommunications. A chacun d'en tirer les conclusions.

Le plus urgent est donc d'obtenir un moratoire pour suspendre le déploiement de la 5G. Exigée dès 2017 par plus de 170 experts et médecins 21, cette demande de moratoire a été relayée par la Convention citoyenne pour le climat en 2019, et correspond à la demande des deux tiers des Français, selon un premier sondage réalisé du 26 au 27 août 2020 par OpinionWay 2. Si vous aussi souhaitez prendre part à ce combat adressez-vous au lien suivant : https://g5raisons.fr

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Connaissez-vous Concarneau ? Je ne parle pas uniquement des Filets bleus mais de cette randonnée merveilleuse par le circuit de Lanriec. Lanriec se situe en fait à cinq kilomètres à l'est de Concarneau par la D783, et la balade que je vous propose aujourd'hui démarre du parking du passage de Lanriec. Cette randonnée dure 3h15 et compte treize kilomètres. Quittez le parking par la rue du Vétéran pour atteindre la D322. Suivre cette route sur cent mètres, puis poursuivez à droite par une voie piétonne, gagnez un petit bois, conservez votre gauche et longez la lisière basse du bois sur 400 mètres.

Virez ensuite à gauche pour traverser la zone d'activités en suivant le fléchage VTT jaune, puis quittez cette zone par la droite de façon à croiser à 300 mètres la D783. Suivez ensuite le chemin qui la surplombe, et qui vous permet de gagner le bourg de Lanriec en longeant un petit ruisseau et un petit bois.

Après l'église Notre-Dame de Lorette, engagez vous dans la rue de Kerviniou (sur votre droite). Passez un menhir christianisé, poursuivez jusqu'au rond-point, franchissez le carrefour sur les passages protégés, et continuez sur 150 mètres par l'avenue du Cabellou.

Engagez-vous à gauche dans un sentier de terre qui file vers l'anse du Moulin à mer. Au niveau de la route, tournez à gauche sur 100 m avant de retrouver par la droite le sentier pour rejoindre le GR34 au niveau du moulin à marée du Minaouët.

Suivez ensuite les méandres du trait de côte pour découvrir les paysages de l'anse du Moulin à mer et de l'anse de Pouldohan, et plus au sud, la pointe de la Jument. Le GR traverse la pointe du Cabellou par les voies desservant les quartiers résidentiels où l'on peut apercevoir de jolies demeures. A marée basse, il est possible d'effectuer le tour de la pointe, mais méfiez-vous du sol glissant.

Près de la chapelle, continuez sur le GR par le quartier de Douric ar Zin puis, à partir du bois du Porzou, par le sentier côtier, longez l'anse de Kersaux jusqu'au bac du passage.

(extraits du Topo-Guide « De Concarneau à Quimperlé...à pied ») https://ffrandonnee29.fr/

 

SEQUENCE NOSTALGIE

Nous sommes en août et beaucoup de Français sont en vacances en congés payés. C’est en 1936 sous Léon Blum, il y a 85 ans exactement, que les travailleurs ont acquis le droit d’être « payé à ne rien faire » comme on disait. 550 000 personnes en 1936 et l’année d’après, plus de 900 000 ont pu profiter des bains de soleil, à la mer comme à la montagne. https://youtu.be/ZcIPi52tsmQ, https://youtu.be/dP7MGIiq6AY?list=TLPQMTAwODIwMjHa9AtcsZP8Hw, https://youtu.be/gV6Q8uFbaeg?list=TLPQMTAwODIwMjHa9AtcsZP8Hw

 

VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...

 

LE PETIT MANUEL DU RESISTANT

 

QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?

  • Le président argentin Alberto Fernández a expliqué dans une interview qu’il envisageait l’adoption du Bitcoin (BTC) dans le pays. La révolution des cryptomonnaies serait-elle en train de se mettre en place en Amérique latine ?

    Tout comme le président du Salvador Nayib Bukele, son homologue d’Argentine voit dans le Bitcoin un moyen de lutter contre l’inflation galopante qui touche la monnaie fiduciaire du pays, le peso argentin (ARS). C’est un atout particulièrement crucial pour le pays. L’Argentine fait face à une des inflations les plus sévères au monde. On apprenait ainsi hier qu’elle avait atteint 29 % de janvier à juillet 2021, c’est-à-dire le seuil qui avait été fixé pour l’année entière. Depuis un siècle, l’inflation annuelle atteint en moyenne +105 %, d’après la chambre de commerce d’Argentine.

  • CipherTrace rentre en guerre contre l’anonymat des transactions : La société CipherTrace, spécialisée dans la conformité réglementaire des cryptomonnaies, l’avait déjà promis en novembre 2020 : elle a bien l’intention de mettre fin à l’anonymat sur Monero (XMR). Dix mois plus tard, il semble que CipherTrace ait partiellement mis sa menace à exécution, avec l’aide du Homeland Security – le département US de la sécurité intérieure. La disponibilité de ce traçage amélioré de Monero mis en place par CipherTrace renforce la viabilité à long terme des cryptomonnaies axées sur la protection de la vie privée, en assurant aux régulateurs que les crypto-bourses, les courtiers de gré à gré (OTC) et autres fournisseurs de services d'actifs numériques seront en mesure de se conformer aux exigences réglementaires globales, tout en continuant à accepter les transactions en moneros.


 

ACTIVONS NOS NEURONES

Nous aimons tous ces grosses peluches que sont les pandas, mais ces animaux sont bien plus que des ursidés. Depuis près de quatre vingt ans, la Chine utilise en effet cet animal comme agent diplomatique, même si les historiens pensent que cette diplomatie du panda (c'est son nom) existait déjà du temps de la dynastie Tang (7è siècle) lorsque l'impératrice Wu Zeitan envoya deux pandas au Japon. Il faut savoir que la Chine est l'un des rares pays à abriter cet ours, d'où sa valeur inestimable pour les Chinois et leur gouvernement. Tout est fait pour protéger l'espèce et la chasse au panda est interdit, au même titre que sa vente. Notons que le meurtre de panda est sanctionné par la peine de mort. Chaque spécimen est ainsi surveillé de prés pour éviter sa disparition et permettre sa reproduction. Plus d'une dizaine de centres ont été créés dans l'empire du Milieu pour abriter l'animal et autant de réserves naturelles aident l'ours à vivre paisiblement et hors de portée de tout danger.

Pas folle, la Chine joue sur l'attachement des populations (y compris étrangères) envers cette grosse peluche bicolore et l'utilise volontiers comme porte-parole de la diplomatie chinoise dans le monde. A tel point que l'animal est aujourd'hui devenu le symbole de la Chine à l'international. Dès 1941, le pays avait déjà envoyé deux pandas au zoo du Bronx (Etats-Unis) en guise de remerciement, et à la veille de l'entrée des Etats-Unis dans la Seconde Guerre mondiale. Le président Mao renouvellera l'expérience à plusieurs reprises dans les années 1950 en adressant des pandas en cadeau aux alliés communistes de son pays (comme par exemple la Corée du Nord et l'Union soviétique).

La France aussi participe à la reproduction du panda : Les deux bébés pandas nés au ZooParc de Beauval ce lundi 2 août 2021 sont en forme. Et ils ont même déjà vocalisé ! Les deux femelles qui sont jumelles sont surveillées 24 heures sur 24 par deux soigneuses chinoises de l'équipe de Beauval. A suivre (https://www.zoobeauval.com/).Pour la Chine, le panda reste décidément un animal « au poil » pour l'entretien de bonnes relations diplomatiques ! (avec la participation de Muriel)

 

DU COTE DE CHEZ NOUS

Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : https://youtu.be/kMsmCWZn39k

 

Slowing Out et ses guides

Slowing Out propose des guides urbains contenant de bonnes adresses insolites, indépendantes et engagées pour faire découvrir une ville autrement, à travers une sélection d’adresses et de bons plans aussi désirables que responsables. Son point fort: s'appuyer sur un réseau de femmes entrepreneuriales locales et engagées qui acceptent de partager leurs adresses éthiques préférées. Aujourd'hui, face à une forte demande, Slowing Out lance la version papier de ses guides digitaux, déjà incontournables à Lyon, Nantes, Paris, Bordeaux et Biarritz. Les City-guides Slowing Out ("going out en mode slow") s'adressent aussi bien aux locaux qu'aux voyageurs en transition écologique qui ne savent pas trop comment faire pour remettre du sens dans leurs excursions et leurs sorties. Leur secret : partager les bons plans habituellement connus des seuls "happy fews" et qui se transmettent uniquement par le bouche à oreille.  https://www.slowingout.com/collections/all

 

« Le marché public dans l'ambiance du 18è siècle » les 27, 28 et 29 août à Montréal (Québec)

Après une édition entièrement virtuelle en 2020, le Marché public dans l'ambiance du 18siècle fait son grand retour en présentiel ! Gratuit, ce célèbre rendez-vous annuel de Pointe-à-Callière est présenté cette année dans une version hybride : sur place, le Marché public investit la rue avec ses kiosques d’artisans et une série d’activités extérieures à la découverte des savoir-faire d’antan en ligne, le voyage à l’époque de la Nouvelle-France se poursuit avec des conférences - dont une avec dégustation -, atelier participatif et soirée de contes pour petits et grands. Un incontournable de l’été qui invite le public à remonter le temps, en plein cœur du Vieux-Montréal.

Le samedi 28 et dimanche 29 août 2021, de 11 h à 16 h, aux abords du Musée et sur la place Royale, Pointe-à-Callière reconstitue l’ambiance de la première place du Marché de Montréal, sur le site même qu'elle occupait pendant le régime français. Une tradition importée d’Europe qui avait lieu deux fois par semaine, et où Autochtones et Français se rencontraient pour acheter et vendre des produits ou échanger des nouvelles. Avec ses kiosques et ses animations festives, le public côtoiera marchands, artisans et musiciens ambulants répartis en trois zones distinctes. 
 
Dans la zone Jardin, les visiteurs pourront s’initier à l’herboristerie en découvrant quelles plantes ancestrales étaient utilisées à l’époque de la Nouvelle-France, notamment par les diverses communautés autochtones. Ils pourront également prendre part à une démonstration de fabrication d’outils de pêche à partir de matières organiques … comme au 18e siècle !
 
Zone Place Royale, on en apprend plus sur la fabrication des vêtements, autant des vêtements traditionnels autochtones que ceux des colons. Démonstrations de broderie aux piquants de porc-épic, de tannage (travail traditionnel du cuir), de travail de la plume et du filage de la laine sont au programme !
 
Enfin, sur la zone de la Pointe, les secrets de la roue de médecine autochtone sont dévoilés. Tout en s’imprégnant de la philosophie et des liens culturels traditionnels rattachés à celle-ci, le public sera invité à en fabriquer une.

Par ailleurs le Musée propose une série de rendez-vous virtuels pour mieux comprendre la réalité des premiers Montréalais en Nouvelle-France du 27 au 29 août prochain. https://pacmusee.qc.ca/fr/calendrier/collection/marche-public-2021/

 

Neuf villes à découvrir avec Vélotour


Vélotour (https://velotour.fr/) donne rendez-vous aux amateurs de vélo dans neuf villes en France : Reims : 29 août 2021, Dijon : 5 Septembre 2021, Toulouse : 5 Septembre 2021, Bordeaux : 12 septembre 2021, Valenciennes : 19 septembre 2021, Le Havre : 26 septembre 2021, Marseille : 3 octobre 2021, Orléans : 10 octobre 2021 et Tours : 10 octobre 2021 (l'édition parisienne étant reportée à 2022).

Cette année ces villes accueilleront chacune environ 5 000 participants. Inutile d'être un champion du Tour de France pour participer aux parcours urbains compris entre 15 et 25 kilomètres et ainsi pénétrer, en famille, dans des lieux spécialement ouverts pour l'occasion. Tous en selle !

 

Horlogerie dans le Bade-Wurtemberg (Allemagne)

A la fois pour sa culture générale et pour le plaisir des yeux (et qui sait aussi de ses poignets), Pforzheim, surnommée « la ville d’or », propose de découvrir la tradition horlogère et bijoutière allemande. Celle-ci a vu le jour en 1718 et a fait de la ville un haut-lieu dans le domaine. Pour en savoir plus, il faut se rendre au musée du bijou où plus de 5000 pièces de l’Antiquité à nos jours sont présentées. C’est le seul musée au monde qui n’expose que des bijoux et des montres de poche. Son architecture est également remarquable. Le bâtiment compte parmi les chefs d’œuvres architecturaux d’après-guerre. Le musée de la technique permet quant à lui de se mettre dans la peau d’un joaillier. Plus de 200 machines d’anciennes fabriques y sont exposées et sont remises en marche pour des démonstrations. Pour celles et ceux qui souhaitent ramener un souvenir de leur passage à Pforzheim, la boutique Schmuckwelten propose, à la vente, des pièces de grandes maisons ou de jeunes créateurs. https://www.tourisme-bw.fr/

 

Liv'Story : une nouvelle application pour découvrir Paris et Lyon au fil des quartiers

Liv’Story est une nouvelle application touristique au format inédit qui vient de voir le jour à Paris et à Lyon. Une balade à faire soi-même, en autonomie, pour  découvrir la ville sous un autre jour. Le principe : un format court et impactant, des informations et  des anecdotes historiques sélectionnées par une experte du tourisme local, pour s'immerger dans l’ambiance d’un quartier, comme un voyage dans le temps. Au-delà de la rigueur historique sur  laquelle se base la trame narrative de chaque visite, les expériences Liv’Story ont été conçues en  portant une attention particulière à l’ambiance et à la tonalité. Pour que l’histoire emporte l'utilisateur et le transporte, au fil des étapes, de surprises en coups de cœur, pour voir la ville autrement.

Première étape : télécharger l’application Liv’Story disponible sur Apple Store ou Play Store. Une fois l’application ouverte, elle géolocalise l’utilisateur et affiche automatiquement les balades à proximité (il en existe actuellement cinq à Paris et trois à Lyon, et une dizaine d'autres sera bientôt disponible). Reste à réaliser la transaction pour acheter la balade choisie et… c’est parti. L'utilisateur n'a plus qu’à se laisser conduire dans les rues, au fil des monuments et des lieux emblématiques de  chaque quartier. Seul ou à deux, chacun son oreillette. Une immersion 100% détente pour décrypter la ville.
Durée des balades : environ 30 à 45 minutes  Prix : 4,99€  Balades disponibles :  Paris : la tour Eiffel, les Champs-Elysées, le Marais, Montmartre et la Butte aux Cailles. A Lyon : le Vieux Lyon, Croix Rousse et la Confluence https://www.liv-story.com

 

Les modes de paiement utilisés par les Français

Selon un étude récente de Lightspeed POS, la carte bancaire s'impose sur le marché du tourisme comme un atout pour les commerçants : 57% de nos compatriotes règlent leurs dépenses uniquement par carte bancaire durant leurs vacances. L'argent liquide, lui, perd du terrain puisque seuls 13% des Français l'utilisent pour payer leur repas quotidien. Quant au chèque, il subit une plus grande désaffection car seuls 3% des Français utilisent ce moyen de paiement.

La crise, elle, a un effet sur les modes de paiement (27% des interviewés afirment privilégier le paiement sans contact pour des raisons sanitaires) et la diversification des options de paiements dans les commerces (appréciée par 58% de nos compatriotes). la technologie du sans contact gagne du terrain dans l’esprit des consommateurs. Si, auparavant, elle était principalement utilisée par les jeunes (18-24 ans), car considérée comme peu sécurisée et donc crainte par une partie des Français, le sans-contact s’avère désormais être un des modes de paiement favoris des répondants pour diverses raisons. En effet, 38 % des répondants estiment que le gain de temps généré par cet outil n’est pas négligeable, tout particulièrement lors d’une pause déjeuner au bureau. La crise sanitaire et les mesures que cette dernière a engendrées ont conduit les Français à s’orienter vers ce mode de paiement puisqu’il limite les contacts physiques présents lors de transactions en espèces ou lors de l’insertion de la carte. Enfin, pour 13 % des personnes, ce mode de paiement permet de ne pas posséder de liquide et par conséquent de ne jamais prendre le risque d'être à court d’espèces.  La comparaison menée entre la dernière étude Lightspeed et les tendances précédemment observées par des organismes comme la Banque de France, démontre que la crise sanitaire a tout de même un fort impact sur les mécanismes de consommation des Français. Toutefois, 58 % des sondés estiment que la variété de moyens de paiement que propose un établissement est déterminant dans leur choix. Outre l’aspect paiement, le mode de consommation en ligne ou physique conditionne également les Français dans leurs dépenses. En effet, 22 % des répondants déclarent dépenser plus lorsqu’ils commandent sur internet, par click & collect ou tout autre mode de consommation virtuel. Les modes de paiement varient en fonction des sommes des achats, néanmoins, les Français expriment une préférence marquée pour les cartes bancaires et leur fonction sans-contact, des outils qui permettent de ne pas disposer de liquide et qui, par conséquent, limitent les contacts physiques et s’inscrivent dans les nouvelles mentalités façonnées par la crise sanitaire. Un comportement qui s’accentue avec les tendances d’achat via internet. À l’image de la Suède, premier pays européen à supprimer l’utilisation des espèces, l’avenir de ce moyen de paiement dans l’hexagone interroge.

 

Exposition photos chez les Vignerons indépendants de la région PACA-Corse

Les Vignerons Indépendants PACA-Corse ont concocté un programme d’expositions sur le thème « Lignes de partage » à découvrir tout l’été au cœur de leurs châteaux et domaines viticoles. Un thème qui illustre l’engagement des artisans du vin en faveur de l’environnement à travers un élément essentiel, l’eau. Quatre domaines ont choisi de le décliner en présentant le travail de photographes passionnés. Ci-dessous, les lieux des différentes expos photos disponibles :

  • Philippe Pixeliums au Château de Nestuby, 4540, route de Montfort, 83570 Cotignac jusqu’au 30 août.

  • Brice Garcin au Domaine des Féraud, 3590 Route de St Tropez, 83550 Vidauban, jusqu’au 31 octobre

  • Manon Benedetto au domaine Les Terres de Saint-Hilaire, Route de Rians, 83470 Ollières jusqu’au 30 août

  • Eric David au Clos Mireille, Route du Fort de Brégançon, 83250 La Londe Les Maures jusqu’au 30 septembre

    Créée il y a plus de 30 ans, la Fédération des Vignerons Indépendants de Provence Alpes Côte d'Azur-Corse regroupe aujourd'hui environ 400 adhérents, qui représentent 87 % des caves particulières des départements du Var, des Alpes-Maritimes, des Alpes-de- Haute-Provence et de Corse pour une superficie totale d'environ 11 900 hectares. Ces vignerons produisent des vins d’appellation tels que Bandol, Bellet, Côtes de Provence, Coteaux Varois en Provence, Coteaux d’Aix en Provence, Pierrevert, Corse mais également des vins à Indication Géographique Protégée ou sans indication géographique. Les vignerons, en adhérant à la Fédération, trouvent une assistance, un soutien et un accompagnement personnalisé. Tout cela en vue d’un objectif commun, défendre et promouvoir le métier de Vigneron Indépendant.

Visite guidée à Trouville (14) le samedi 28 août 2021

Michèle Clément, guide-conférencière, vous invite à une visite guidée sur la thématique « L'art déco à Trouville-sur-Mer » ce samedi 28 août à 10h30. Renseignements et inscription auprès de l'Office de Tourisme au 02 31 14 60 70

 

Festival Berlioz, jusqu'au 30 août 2021 à l'église de la Côte-Saint-André (38)

Fondé en 1979, le Festival Berlioz est une manifestation incontournable de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. Sa renommée nationale et internationale en fait l’un des plus grands rendez-vous de la saison des festivals de musique classique et plus particulièrement de musique symphonique.Le Festival Berlioz se déroule depuis 1994 au mois d’août à La Côte-Saint-André, ville natale du compositeur romantique Hector Berlioz, et dans des lieux iconiques du patrimoine de l’Isère environnant (châteaux, abbayes, églises…) Les plus grands orchestres nationaux et internationaux, maestros, divas et solistes se succèdent sur les scènes du Festival et donnent des œuvres majeures du répertoire romantique. Certains artistes de renom, tels que Sir John Eliot Gardiner, François-Xavier Roth, Hervé Niquet ayant tissé au fil des ans une réelle complicité avec le Festival, lieu de diffusion exceptionnel en France. Le Festival Berlioz permet de fêter le compositeur dans sa ville natale au cœur de la plaine de la Bièvre, et plus largement en Isère, de découvrir ses œuvres les plus rares et les plus spectaculaires, mais aussi ses contemporains et sa postérité. https://www.festivalberlioz.com/

Andégave, l'application qui trouve vos sorties en Pays-de-Loire

Grâce notamment à la géolocalisation, l’utilisateur peut grâce à cette nouvelle application mobile découvrir en un ou deux clics les sites et offres en proximité de la région : festivals, parcs, châteaux, jardins… Parmi la centaine de sites : Bioparc, Zoo des Sables, Mine Bleue, Les Chemins de la Rose, Saut aux Loups, Château du Plessis-Macé, Veuve Amiot, Louis de Grenelle, Le Plessis Bourée, Terra Botanica, Bouvet, Natural Parc, Cadre Noir, Parc Oriental de Maulévrier, Zoo de la Boissière, Montreuil Bellay, Puy du Fou, Zoo de Mervent, Zoo de la Flèche, Acrocyme, Laser Game Angers, LUDyLAB, Le Colisée, Cointreau, Explora Parc, UP 2 Play, La Petite Couère, Château de Talmont, Parc Floral de la Court d'Aron, Préhisto site du Cairn, Mystère des Faluns, Labyrinthe en délire, Legendia Parc, La Folie de fin Farine, Les Pommes Tappées, POP Corn Labyrithe, Combier, Planète Sauvage, Pierre Brune, Gatien Mayer, Camifolia…soit une centaine de sites et d'évènements dans cette région ! https://www.andegave-communication.com/application-tourisme-et-loisirs/

 

Kit Pique-nique zéro déchet au Parc national de Port-Cros (83)

Matières certifiées éco-responsables, production et fabrication locale ou au plus proche possible du territoire, utilisation de nouveaux matériaux, le Parc national de Port-Cros propose des solutions innovantes et vertueuses pour inciter ses réseaux d'ambassadeurs et de partenaires à agir pour une mer sans plastique. Le plastique pollue les milieux marins, tue la faune et la flore et détruit notre patrimoine naturel. Menée auprès de nos réseaux de professionnels et partenaires Esprit parc national, l'opération « Mer sans plastique » réunit les Parcs nationaux des Calanques et de Port-Cros, l'Office Français de la Biodiversité et la Région Sud. Elle vise à agir favorablement pour collecter les déchets abandonnés, présenter des alternatives pour réduire à la source la consommation de plastique, et invite à devenir acteur du changement et de la protection du milieu naturel. Le kit 2021 contient un pochon en coton biologique Made in France, un Kit de couverts réutilisables en Canne de Provence, produit et transformé à moins de 20km du Parc national de Port-Cros, une gourde en verre Made in France 50cl Gobi, une cosse en coton biologique enduit de cire végétale pour emballer la nourriture et éviter aluminium ou sulfurisé et un bocal en verre, alternative efficace aux contenants en plastique et une serviette en tissu. https://www.mersansplastique.fr/

 

Exposition estivale « Les Fantômes d'Angoulême » (16)

À l'été 2018 le collectif d'artistes PAON crée son premier projet : Les Fantômes d'Angoulême pour partager l’histoire de la ville d'Angoulême au travers de personnages historiques emblématiques. Pour ce projet, ce sont huit artistes qui ont fait le choix d’illustrer huit personnages qui ont marqué la ville sous forme de huit cartes postales géantes. En 2020, le projet évolue et d’autres personnages viennent s’ajouter à la liste ainsi que la réalité augmentée. Après avoir téléchargé l'application PAN ( https://play.google.com/store/apps/details?id=com.kalank.pan&hl=fr&gl=US et https://apps.apple.com/fr/app/pan-la-réalité-augmentée/id1486317089) , vous pouvez partir à la découverte de la ville. Dispersés dans la ville, à la recherche des différents personnages illustrés qui s’animent grâce à un QR code à scanner sur place. Et pour découvrir les onze personnages et leur histoire, le visiteur devra arpenter les rues du centre historique, les remparts et les parcs….à l’image d’une chasse aux trésors géante pour partir à la recherche de l’histoire d’Angoulême.

Le choix des lieux d’affichage des fantômes s’est fait en accord avec les Architectes des Bâtiments de France et en concordance avec l’histoire de chacun de ces personnages historiques. La partie historique du projet a été alimentée par les membres du Pays d’Art et d’Histoire tandis que les créations sonores ont été produites par des scolaires dans le cadre d’un parcours d’éducation artistique et culturel financé par la DRAC et Le Grand Angoulême. Cet été partez à la chasse aux fantômes avec l’application Pan ! et partagez votre fantôme préféré avec le hashtag #ChasseAuxFantômesdAngoulême

 

C'est au printemps prochain que la Cité du Vitrail rouvrira ses portes après une complète restauration. L'occasion pour moi de faire un état des lieux de cet art si précieux dont Troyes peut à plus forte raison revendiquer le titre de capitale européenne. En verre...et contre tout !

Yves

 

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Canada 5) Portugal 6) Philippines 7) Allemagne 8) Royaume-Uni 9) Guadeloupe 10) Iran




Le Vitrail, à l'Aube d'un renouveau (Troyes, Aube, France)


Le vitrail connaitrait-il un nouvel âge d'or ? Le département de l'Aube (10) promeut en tous cas Troyes comme la capitale du Vitrail en y construisant la Cité dédiée à cet art qui ouvrira au printemps 2022. L'Histoire a effectivement fait de ce département français l'endroit le plus riche du pays en la matière aux côtés de la Seine-Maritime, fort des très nombreuses verrières antérieures à la Révolution française et de l'important corpus légué par les ateliers des 19è et 20è siècles. Mieux, l'Aube peut légitimement revendiquer le titre de « capitale européenne du vitrail » (...)


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