Revoir le globe
Top
Retour à l'historique des lettres
          

Lettre envoyée le 12/06/2017


style="Lundi 12 juin 2017                                La Lettre N°329

 

style="Le numéro de cette semaine est spécialement consacré à mon séjour en Uruguay. Les informations ci-dessous sont le fruit des constatations bonnes ou mauvaises, que j'ai faites, une fois sur le terrain, et pourront vous être utiles si vous envisagez de vous envoler à votre tour pour cette destination :

 

style="Dès la descente de l'avion, l'aéroport tout neuf de Montevideo s'annonce fonctionnel et à taille humaine. Il ne faudra attendre que quelques minutes avant de passer les filtres de police et un simple examen de mon passeport suffira. Même pas d'empreintes digitales... Il me faudra traverser la boutique duty-free avant d'arriver aux tapis bagages. Quant au passage des douanes, il suffit de disposer ses valises sur un tapis pour examen aux rayons X et c'est tout. Une fois sorti, je me retrouve dans le hall unique de l'aéroport. Là, tout est à portée de main : le comptoir de change, le bureau des taxis (très efficace et aidant!), le bureau de tourisme (pour se procurer les premières informations) et l'agence de l'opérateur téléphonique national ANTEL où tout le monde fait la queue pour acheter une puce uruguayenne (cette agence ne vend pas de clés USB!).

style="L'agence SIXT a un personnel présent avec un panneau dans le hall de l'aéroport. Cette personne appellera l'agence qui viendra me chercher en navette quelques minutes plus tard, pour récupérer mon véhicule de location, à quelques kilomètres de là. Côté choix, celui-ci fut limité car, souhaitant un modèle à vitesses automatiques, SIXT ne disposait que d'un modèle éco, celui que j'ai retenu, une voiture chinoise, de marque Changan (que je ne souhaite à personne!) un peu déconcertante au départ mais qui fonctionne assez bien (si ce n'est qu'on ne vous avertit pas si vous avez laissé vos phares allumés), ou bien d'autres modèle haut de gamme. Or, en passant par Rentalcars, il m'en coutera tout de même 1400€ pour une location économique de 35 jours, assurance complémentaire intégrale comprise. Je déconseille catégoriquement l'agence SIXT, incompétente, qui me confia un véhicule en mauvais état de fonctionnement (obligation d'ouvrir sa porte conducteur avant de retirer sa clef de contact, à défaut je restais bloqué dans le véhicule, et devais en sortir par la porte passager, manque de reprise pour doubler notamment, panne du lave-glace et pneus avant lisses). Je prends bientôt la route en direction de Montevideo et découvre que la route est en très mauvais état, avec des gendarmes couchés difformes et peu repérables tous les...500 mètres ! Attention aux amortisseurs. Et de mettre 45 minutes pour parcourir les vingt kilomètres qui me séparent de l'aéroport.

style="L'arrivée à mon hôtel Valldemosa se déroule dans de bonnes conditions : nous sommes samedi et il est aisé de trouver une place de stationnement le weekend en ville. L'accueil est très agréable et le personnel très attentionné. Ma chambre est petite mais confortable et l'accès internet excellent. Il est vrai que mon compagnon de voyage, le GPS TOM TOM m'a beaucoup facilité la tâche pour me conduire jusqu'ici.

 

  • style="Le réseau routier uruguayen et ses surprises : Montevideo et sa banlieue offrent des routes de mauvaise qualité. Heureusement, la province entretient mieux son réseau routier (d'importants travaux sont actuellement en cours entre Treinta y Tres et Melo (sur la Ruta 8) qui est en règle générale, de meilleur qualité. La vitesse maximale sur route nationale est de 90 km/h mais l'Uruguay possède une spécificité, celle de faire payer un droit de péage sur ...routes nationales ! Oh, il ne s'agit que de 85 pesos (3 US$) mais tout de même, la chose est assez surprenante et je vous conseille de toujours avoir sur vous des pesos uruguayens car les cartes de crédit ne sont pas acceptées. Depuis peu, on m'a fourni une explication pour ces péages : l'entretien des routes nationales (sous concessions privées) seraient de la responsabilité d'entreprises privées qui disposent d'un droit de péage pour financer l'entretien des routes. En agglomération, respectez bien le 45 km/h, souvent synonymes de gendarmes couchés, si vous ne voulez pas courir à l'accident. Côté conduite, les Uruguayens ne se préoccupent pas forcément des lignes continues qu'il peuvent parfois franchir sans vergogne, même dangereusement, pour doubler. Prudence ! Généralement, les conducteurs ne klaxonnent pas et c'est fort agréable. Ils tiennent par contre à leur priorité à droite quand ça les arrange. J'ai ainsi eu un accrochage à Canelones avec un petit camion, pressé, qui m'a vu mais n'a pas ralenti pour me laisser le temps de tourner, étant déjà engagé. Côte station-service, on s'occupe de tout pour vous : on vous sert en carburant (payable en liquide ou par carte de crédit), et on vous nettoie les vitres, on vérifie la pression des pneus (ces services sont gratuits, mais on peut laisser la pièce). Ici, les voitures fonctionnent au NAFTA (essence 95 ou 97, à 45 pesos le litre) ou au gasoil

  • style="L'accès internet sans fil se généralise dans les bars, cafétérias et restaurants. Il n'est en effet pas rare de disposer d'un accès WiFi gratuit dans une confiserie pour déguster vos consommations en surfant. Dans les hôtels que je fréquente, c'est une autre histoire, et, méfiant de nature, je demande désormais systématiquement à l'hôtelier à tester la qualité du WiFi avant de m'installer dans ma chambre. Avec le temps, je me demande toutefois si l'hôtelier, qui est dépendant du fournisseur d'accès, est systématiquement responsable des coupures. Beaucoup de gens ici m'ont par exemple fait part de leur mécontentement envers ANTEL. En secours, je me suis aussi équipé d'une clé USB avec puce rechargeable (dans les points de vente Repagados, ou autre boutiques, ou kiosques de téléphonie nombreux dans ce pays). J'ai personnellement choisi ANTEL, l'opérateur national. Cout de la clé USB, environ 80€, et 5€ pour 2 GB de données. Attention : l'agence ANTEL de l'aéroport de Montevideo ne vend que des puces, mais pas de clés USB.

  • style="La cuisine. Vaste sujet que la parrilla (ou grillade). Au regard de ce que j'ai pu observer jusqu'à maintenant, l'Uruguay ne me semble pas être un pays où règne la gastronomie. A Tacuarembo, dans un hôtel 4****, le restaurant m'a servi une pièce de boeuf trop cuite (j'avais demandé ma viande rouge!), un peu comme font les Australiens. Le plat a pris le chemin de la cuisine et je me suis rabattu sur du blanc de poulet grillé, viande dure, elle aussi. Il n'est jamais facile de faire part de sa déconvenue à un serveur qui plus est, est charmant, mais que faire d'autre ? Des établissements de ce genre qui affichent tout de même des prix conséquents (25€ pour une pièce de bœuf de 300 grammes qui arrive trop cuite) doivent savoir qu'on ne peut pas faire avaler n'importe quoi au touriste de passage. Par contre, le vin Don Pascual (Tannat 2015) en demi-bouteille est très correct, alors que le vin rouge maison, servi glacé (grave erreur!) me semblait avoir le goût de l'eau.....Autre sujet, le petit-déjeuner souvent inclus lors de mes réservations d'hôtels sur Booking.com : petit-déjeuner est un bien grand mot puisqu'il s'agit la plupart d'un verre d'eau parfumée à l'orange, d'une tasse de café et de quelques tranches de pain, agrémentés de biscuits secs que l'on ne souhaiterait même pas à sa propre belle-mère. Les Uruguayens savent bien faire les sandwichs chauds au jambon-fromage. Mais pas forcément les pizzas (évitez d'en commander au restaurant El Bar, 18 de Julio à Paysandu). Pour plus d'assurance, ne consommez que des plats classiques du pays, dont les parrillas, les milanese accompagnées de purée, frites et/ou salade, ou les sandwichs jambon fromage servis chauds. L'Uruguay ne fait pas de cuisine gastronomique, mais ne tombe pas non plus (tout au moins en province) dans le travers des chaines de restauration nord-américaines (Mc Donald, Kentuky Fried Chicken...). Lors de la deuxième partie de mon séjour, je parviendrai enfin à ce qu 'on me serve la viande rouge.

  • style="Les hôtels. Un conseil : Ne vous fiez pas au nombre d'étoiles, car elles ne signifient pas les mêmes critères qu'en France. J'ai, durant mon séjour, trouvé d'un côté, de bons deux étoiles** et de l'autre, des cinq étoiles***** qui n'étaient pas fichus de mettre à la disposition de leur clientèle du thé/café en libre-service (comme à Colonia par exemple). La chasse aux hôtels est toujours un peu une loterie. Le Valldemosa Hotel (Ejido 1222, Montevideo) fut mon premier établissement dans le semi-centre de Montevideo. L'emplacement ne paye pas de mine, mais l'accueil y est fort agréable. Les salles de bain sont minuscules et la douche sans rideau arrose tout autour. La literie est confortable. L'accès internet est excellent. Je déconseille par contre la chambre 2, trop proche de la réception est un peu plus bruyante. Un parking (12 US$ par jour) est possible juste à côté mais on peut facilement se garer dans les rues avoisinantes. L’hôtel Minas (25 de Mayo, 525 à Minas) est idéalement situé au centre-ville à deux minutes de la Plaza Libertad. Son accès n'est pas facilité par un grand escalier peu commode quand on débarque avec ses bagages. L'accueil est correct mais le petit-déjeuner inclus dans la chambre est sommaire (un jus d'orange, thé ou café, pain beurre confiture, céréales). Méfiez-vous des chambres 25 à 27 qui offrent un piètre accès internet, voire pas d'internet du tout. La literie, elle, est mauvaise. Sachez qu'un parking gratuit et couvert appartenant à l’hôtel est possible avec accès par une rue voisine. A Melo, j'ai choisi la Estancia El Rosario (près de l'hippodrome), propriété rurale à un kilomètre de la ville, sur la Ruta 26. L'endroit n'est pas très bien indiqué, et le chemin qui y mène est en mauvais état. La propriétaire est charmante et l'on vit ici au rythme lent uruguayen (le diner est servi à...21h30). Les chambres, simples, offrent une literie correcte, mais la salle de bain commune offre peu de pression d'eau. Quant à internet, l'accès est instable et le signal faible. Même petit-déjeuner basique avec du vraie jus d'orange. Enfin, ce qu'on ne vous dit pas chez Booking.com, il faut régler ses prestations en argent liquide uniquement. A Tacuarembo, je suis descendu dans un hôtel 4 étoiles locales, le FordCity Hotel (Avenida Republica Argentina, 916) situé le long d'une grande route, à cinq minutes du centre-ville. L'accueil y est très agréable, et le personnel efficace. Le linge peut être lavé et repassé en moins de 24 heures (supplément), l'accès internet y est excellent (chambre 104 notamment), la literie très bonne, et la douche suffisamment grande. Le petit-déjeuner est composé de salé et de sucré (vaste choix de gâteaux). On peut se restaurer sur place (restaurant à 100 mètres près du musée FordCity adjacent) mais la viande est dure et trop cuite (bœuf). C'est dommage. Il reste à demander à la réception de commander un mets dans un restaurant extérieur qui sera livré sur place en trente minutes. A Rivera, je suis descendu au Petit Rivera Hotel (Avenida Brazil 880). Personnel agréable mais peu de confort dans cet établissement peu cher, il est vrai, mais bruyant, équipé d'un parking minuscule où l'on ne peut pas manoeuvrer, et un accès internet déficient (nombreuses coupures). L'emplacement est excellent, mais le confort des chambres laisse à désirer : mobilier vieillot, dix minutes d'attente pour l'eau chaude dans la douche, chambre minuscule. Je revis en arrivant à Artigas, à l'Hotel**** Casino San Eugenio del Cuareim (Luis Alberto de Herrera, 298) avec une vaste chambre bien équipé, un bon accès internet, un personnel très agréable, et un bon petit-déjeuner. De plus, dans le même bâtiment se trouve (face à la réception) un restaurant où l'on mange selon une formule buffet avantageuse. On peut même faire mettre ses notes sur celle de l'hôtel et tout régler en une seule fois. Je conseille cet établissement. A Salto, je me poserai à l'Hotel Espanol (Brazil 826), trois étoiles, hôtel simple pour petit budget avec de petites chambres, mais l'ensemble est fonctionnel. L'accès internet y est excellent, les croissants du petit-déjeune servis frais, et le personnel très aimable. De plus un parking est disponible gratuitement sur demande. A Paysandu, j'ai réservé à l'Hotel Papyros****, très confortable, calme et accueillant. Par contre, on est éloigné du centre-ville (puisque près du port) et l'accès internet ne fonctionne (presque pas) dans la chambre 3 (utiliser les parties communes pour une bonne réception). Le Grand Hotel Fray Bentos (rue Paraguay, à Fray Bentos) bénéficie quant à lui d'un bel emplacement face au fleuve Uruguay. L'accès internet y est excellent et l'établissement ne se trouve qu'à deux pas à pied du centre-ville. A Colonia del Sacramento, je suis descendu a l'Hôtel Spa La Réserve***** (Juan Manuel Blanes 104) qui se situe à l'extérieur de la ville, et à quelques centaines de mètres de la plage. Le piège à touristes par excellence, bruyant (mauvaise isolation phonique, à tel point que j'entendais Monsieur faire badaboum avec Madame dans la chambre voisine), et hors de prix pour le nettoyage des vêtements (6 US$ par article). L'accès internet était convenable et il y avait un accès gratuit au Spa et sauna dans un autre bâtiment de l'autre côté de la route.. Pas de parking pour se garer mais quelques places garnies de cailloux (style chantier). Heureusement, j'ai pu me garer facilement dans la rue. Il en ira autrement à Trinidad (Hotel Maxim, Calle Alfredo Puig) avec un très bon accueil, une chambre 202 très confortable et vaste. L'accès internet fonctionne mais est un peu plus faible dans les chambre se terminant en 1 et 2. Bon petit déjeuner, et diner délicieux le soir (le restaurant est le premier restaurant à avoir su me servir ma viande rouge dans ce pays!). Cet hôtel est bien placé et l'on peut se garer facilement. A Santa Lucia, je descends à l'hôtel Oriental (Boulevard Battle y Ordonez 99), petit établissement avec parking et un très bon accès internet. La chambre C est simple, petite mais fonctionnelle et d'un bon rapport qualité/prix. Le propriétaire est charmant et vous fait livrer votre diner à votre chambre depuis un restaurant extérieur. A Maldonado (Hotel DeLaPlace, 18 de Julio/25 de Mayo), je passerai deux jours dans un hôtel*** très agréable, avec une belle chambre. L'accès internet est moyen (vérifiez-en bien le fonctionnement). L'emplacement est parfait car en centre-ville et un parking souterrain est gratuitement disponible. A Rocha, il me sera impossible de trouver un hôtel sur internet et je me replierai donc sur la station balnéaire de La Paloma, avec l'hôtel**** UY Proa Sur (Avenida Nicolas Solari, près du rond-point). Rien à redire sur cet hôtel confortable à tout point de vue mais bénéficiant d'un emplacement un peu à l'écart. A noter que La Paloma n'offre aucun intérêt culturel, et est parfaite pour les séjours plage. Dernier établissement fréquenté : L'hôtel NH Colymbia**** de Montevideo (Rambla Gran Bretana 473), très bien placé, à 500 mètres de la vieille ville, avec parking gratuit, très bon accès internet, bon petit-déjeuner et bonne cuisine (room-service). Seul inconvénient, cet hôtel ne permet pas de sélectionner sa climatisation (tout chaud l'hiver et tout froid l'été). C'est dommage !

  • style="La notion de service, est, ici, une notion de cœur et non une question d'argent comme chez nous. Le dimanche soir, jour chrétien pour cette nation, tout (ou presque) est fermé. La réception de mon hôtel a passé un ou deux coups de fil aux seuls restaurants encore ouverts en leur demandant de pouvoir se faire livrer une commande dans ma chambre. C'est ainsi que j'ai pu diner plantureusement à l'heure prévu (le livreur étant ponctuel) pour simplement 310 pesos uruguayens (10€ à peine) en réceptionnant les mets bien emballés et livrés chauds. La réception me prêta assiette et couverts pour dresser mon plat et hop ! Le tour était joué. L'Uruguay n'a pas détruit tous ces petits métiers dont nous avons cru bon de pouvoir se passer en Europe. L'Argentine voisine non plus, comme à Buenos Aires, où je profite de mes fréquents passages pour me faire cirer les pompes. Et quel brillant au final ! Ces métiers manuels permettent à des milliers de personnes de manger à leur faim. Dans les stations-service uruguayennes, on vous sert en carburant. Et on donne en plus et gratuitement un coup de propre sur votre pare-brise. Le tout avec le sourire. Faute de GPS en état de marche (au nord du pays), il me fallut bien demander ma route aux passants et ces derniers m'aidèrent toujours de bonne grâce. Un certain André me raccompagna même à la sortie de la ville, à Mercedes.

  • style="Le GPS. Mon GPS TomTom m'a beaucoup déçu en Uruguay. Lorsque j'ai fait l'acquisition de ce modèle international, la carte Uruguay était heureusement incluse, sinon, j'aurais amèrement regretté d'avoir payé pour une carte si incomplète et aux informations aléatoires. Globalement, la carte vous permet de programmer votre parcours de ville en ville mais une fois que vous êtes en ville (y compris une ville intermédiaire que vous êtes par exemple obligé de traverser sur votre parcours) vous perdez votre chemin. Mieux vaut alors pratiquer la langue espagnole pour vous adresser aux habitants, car les panneaux indicateurs sont parfois rares dans ce pays. A Montevideo, et en début de séjour, mon GPS trouva tout de suite la rue de mon hôtel et m'y conduisit sans encombres. Par contre, lorsque je suis revenu à la capitale, le GPS s'avéra incapable de trouver la rue en question d'un autre hôtel que l'avais réservé (ni le nom dudit hôtel non plus!). Je déconseille donc l'achat d'une carte Uruguay TomTom dans ce contexte. Mieux vaut compter sur les Uruguayens, très fiables et dévoués pour vous orienter.

  • style="Remise de TVA pour les étrangers. Bonne surprise pour les touristes étrangers : je ne l'ai pas régulièrement vérifié mais les restaurants me décomptaient parfois la TVA. Lors d'un achat plus important, en boutique, on me remit une facture à présenter au guichet Tax Free pour remboursement de la TVA. C'est toujours çà de pris. Une fois à l'aéroport et avant de prendre votre avion, rendez-vous à un automate TAX FREE afin de demander le remboursement automatique (sur votre carte bancaire) de la TVA. En cas de problème, redescendre au niveau arrivée et demandez au policier se trouvant à la porte de sortie des passagers de vous laisser accéder au bureau des douanes à vingt mètres de là.

  • style="Prix d'un timbre pour une carte postale à destination de l'Europe : 60 pesos uruguayens (1,89€)

  • style="Mon voyage en chiffres : hors billets d'avion (mes billets n'étant pas représentatifs de la dépense réelle), ce séjour s'est décomposé comme suit : 2300€ de chambre d'hôtel (petits déjeuners inclus), 1400€ de location de voiture (assurance optionnelle complète incluse), 300€ de carburant (pour environ 6000 km parcourus), 40€ de péages. Un repas coute de 15 à 20€ boisson incluse.

 

style="Pour la dernière fois, je vous propose cette semaine de partir en Uruguay, dans le village de 25 de Agosto où résident Yves et Leo, deux Français expatriés dans ce joli pays. Et Leo d'avoir ainsi transformé l'endroit en musée à ciel ouvert en seulement quelques années.

 

style="Yves

 

style="Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site cette semaine: 1) France 2) Japon 3) Canada 4) Belgique 5) Suisse 6) Allemagne 7) Corée du Sud 8) Madagascar 9) Ile de la Réunion 10) Uruguay

 

 




Les Peintures Murales de 25 de Agosto (25 de Agosto, Département de Florida, Uruguay)


C'est tôt que je quitte La Paloma, et le département de Rocha, pour rentrer sur Montevideo afin d'y terminer mon séjour. En fait, je passerai une demi-journée derrière le volant car il me faudra, là encore, plus de temps que prévu pour rejoindre ma destination, ayant décidé de faire un crochet par 25 de Agosto (Département de Florida). Une bonne partie de mon voyage me conduira la Ruta 12 (...)


Lire la suite
Leglobeflyer







Qui Suis Je - Reportages - Médiathèque - Calendrier - Pays - La lettre - Contact
Site réalisé par Kevin LABECOT
Disclaimer - Version mobile